Du château au village, le crayon et les pinceaux de Stéphanie
Barba volent au fil des pages de son enfance, couvertes de
croquis pleins d’humour.
Trente-huit courtes nouvelles succulentes et drôles, charmantes de tendresse et d’authenticité, sont illustrées par plus d’une centaine de dessins et d’aquarelles.
Le petit Planchon vous guide en tremblant dans la pénombre des couloirs, le Baron vous invite à sa table, la Comtesse compose de curieux menus, l’Institutrice découvre la mixité... et les hannetons.
Amusez-vous, prenez une bouffée d’air d’un autre temps.
Rien n’est inventé, tout est farfelu et tout est vrai.
"Entrez dans 200 ans d’Histoire et de souvenirs", Préface de Martine de Boisdeffre. Présidente de section au Conseil d’Etat
Bois-Bouzon, Herry, Saint Bouize, Thauvenay, Châteauroux, Le Lion d’Angers, Asnelles, Lacoste, Saint Amans-Soult, « le 111 » rue de l’Université à Paris poursuivent un cousinage vieux de plus de deux cents ans et sans cesse rajeuni.
Deux tomes et indissociables dans un bel étui.
Format 16,5 x 24 cm, illustré en couleurs et à foison de blasons, portraits, photos, généalogies…
Tirés à 200 exemplaires.
Entrez dans la danse, entrez dans la vie…
Le monde de la danse est une famille chaleureuse et ouverte à tous ceux qui
savent la découvrir et l’aimer. Il fallait à Stéphanie Barba cette rencontre avec un
tel monde de partage , à la mesure de sa générosité humaine et artistique.
Stéphanie Barba nous est connue pour ses aquarelles de paysages et ses croquis de danse sur le vif, (Béjart, du Bolchoï, de Roland Petit...)
Elle a fait paraître un portfolio de 20 dessins du Sacre du Printemps, introduit par les autographes des danseurs de Béjart.
Elle a écrit et illustré un premier livre : « Sur la route de la Soie. Regard d’une aquarelliste du Berry » Préface de François Marcel Plaisant, ancien ambassadeur de France en Chine.
Après avoir parcouru la Route de la Soie, Stéphanie Barba entreprend, avec « histoires et Histoire », un tout autre voyage.
« Ma mère est morte ». Terrible, évidemment. C’est contre ce silence que le livre s’écrit.
Le fondu enchaîné nous entraîne, au fi l des ans. Ce sont les joies et les peines, les épreuves et même l’année terrible de 1944. Ce sont les visages aimés, disparus et apparus. C’est
l’apprentissage de la vie, à une période majeure du XXe siècle, scandée et organisée par les guerres, leur entre-deux, leur avant et leur après.
« Dansant comme des popcorns, les souvenirs s’appellent l’un l’autre, remontent au hasard et voici que surgissent des visages, des odeurs, des paysages, des souffles depuis longtemps
égligés ».
Alors MOTEUR ! Entrons dans le jeu. L’écran s’anime.
Martine de Boisdeffre
Voyage en 4/4 en pays ouïghour et tibétain musulman et bouddhiste. De Lanzhou à Kashgar, deux mille kilomètres de routes et de pistes, de montagnes et de déserts, de paysages vertigineux et de costumes colorés.
Seize aquarelles illustrent un texte écrit tout en roulant, au fil de la route, pour capter au passage et dans l’immédiat formes, couleurs et lumières.